Par Vincent de Lannoy
avec le soutien du Fonds pour le journalisme en Fédération Wallonie-Bruxelles
Peut-on y arriver ? Peut-on réussir à déstigmatiser la maladie mentale ? », lâche Ezequiel en décapsulant un soda. « Ce serait bien, mais je ne pense pas. À chaque fois qu'il y a un crime, tout le monde attend l'expertise psychiatrique du potentiel coupable. Je pense que ça va être compliqué de changer cela. »
« Peut-on réussir à déstigmatiser la maladie
mentale ? »
Cet homme habite à Lierneux, une commune qui entretient une longue histoire avec la maladie mentale. Il est l'une des onze personnes qui vivent actuellement dans l'Initiative d'Habitation Protégée (IHP) du village, une structure résidentielle alternative et complémentaire à l’hôpital psychiatrique.
La Libre y a posé son micro et donné la parole à des personnes souvent dans l’ombre, non sans avenir.
Avec le soutien du Fonds pour le journalisme - avril 2021