Diviser par trois le nombre de sacs-poubelles produits lors d’un camp des mouvements de jeunesse ? C’est possible et c’est l’ambition des sessions Camps zéro déchet organisées par Zero Waste Belgium et ses partenaires. Principal défi pour les animateurs : revoir les menus et la manière d’acheter les ingrédients.
L’asbl DEC !DE utilise les nudges pour rendre nos comportements plus respectueux de l’environnement. Une technique d’incitations douces qui ne suffit pas à elle seule.
Dans la famille de Nadège De Bonte, rentrée rime au maximum avec durabilité. Et ça n’est pas forcément coûteux ou compliqué. Petite immersion à la fin des vacances pour quelques gestes malins à intégrer au quotidien.
Ayant la capacité d’absorber les graisses, le cheveu est un matériau idéal pour combattre la pollution aux hydrocarbures. En absorbant le pétrole, il préserve les cours d’eau. De multiples autres usages sont envisagés par l'ASBL Dung Dung.
La commune de Rochefort a été fortement touchée par les inondations de juillet 2021. Parmi les solutions retenues, une soixantaine de mares naturelles vont être creusées avec le soutien de l’ASBL Kick Belgium.
À Chimay, des serres agrivoltaïques exploitées par un jeune maraîcher répondront directement aux besoins de l’auberge voisine. Le projet Grewfarm espère essaimer en Wallonie.
Le premier centre de lavage belge pour emballages alimentaires réutilisables vient de voir le jour à Herstal. Bring Back veut réduire l’impact écologique des récipients en verre et créer de l’emploi local.
Le béton est roi dans de nombreux quartiers bruxellois.Alors que l’on subit inondations et canicules, l’Asbl Less Béton invite à regarder le potentiel de résilience qui se trouve sous nos pieds. Et propose de revégétaliser de petits espaces urbains.
L’entreprise Natura Mater se définit comme “sourceur” de matériaux. Elle passe au peigne fin le marché pour trouver des matériaux durables afin de conseiller professionnels et particuliers. Et ainsi diminuer l’impact environnemental d’un secteur ultra polluant.
En croissance continue, le numérique est devenu une source d’émissions de CO2 très importante. Équipements et usages ont dans le même temps divers effets néfastes sur l’environnement. Les experts appellent à la sobriété.
Le Green Office de l’ULiège essaie de stimuler les étudiants pour qu’ils agissent en faveur d’une société plus durable, en leur proposant des défis tout au long de l’année. Les communautés universitaires se mobilisent progressivement autour des enjeux climatiques.
En partenariat avec la Fondation Be Planet, le WWF Belgique a créé un fonds pour soutenir des projets citoyens qui ont un impact concret et positif sur la nature locale. L'appel à projets se clôture le 24 septembre.
Les mouvements de jeunesse s’emparent des questions environnementales. Pour certains, les camps d’été sont désormais “zéro déchet”. En formant les staffs, Zero Waste Belgium s’adresse aux consommateurs de demain.
Le projet ARBRES a pour objectif de multiplier la plantation d’arbres fruitiers dans la capitale. Ceux-ci permettent non seulement d’offrir des ressources alimentaires, mais aussi de rendre toute une série d’autres services écosystémiques aux habitants, qui seront associés à la création et la gestion de ces vergers décentralisés.
L'expérience “Value Bugs” s’est appuyée sur l’appétit des larves de la mouche soldat noire. En décomposant des épluchures et autres résidus organiques, elles produisent du compost et des protéines avec lesquelles on peut nourrir des animaux d’élevage.
L'école communale maternelle et primaire de Plombières participe au programme de label “École plus propre” mis en place par BeWaPP. Il vise à améliorer la propreté, la prévention et le tri des déchets en milieu scolaire.
Face à la crise climatique et de la biodiversité, il est urgent de bâtir la résilience des territoires ruraux. La start-up Plant C veut apporter sa pierre en organisant le financement de la replantation de haies, de vergers, de taillis ou de bois.
La Forêt de Soignes, en bordure de Bruxelles, abrite des peuplements spectaculaires de hêtres et de chênes. La majeure partie des arbres qui y sont abattus sont destinés au marché asiatique, alors que la région capitale importe elle-même quantité de bois. Sonian Wood Coop. entend valoriser localement ce précieux héritage.
Depuis le mois de juillet, Gwendoline Viatour commercialise des fleurs locales, de saison, et favorisant la biodiversité. Une manière de contrer un modèle dominant dévastateur pour l’environnement et néfaste pour la santé des sols et des êtres vivants.
Loin d'être arc-boutée au protocole, la fondatrice de "Croque-Madame" pose un regard optimiste sur la mort. Elle apporte aux funérailles une dose de créativité. Notamment la dimension écologique, au cœur de sa pratique.
Acteur économique, lieu culturel et spirituel, l'abbaye cistercienne de Villers entend contribuer aux enjeux du développement durable. Une démarche inscrite dans l'ADN de ce monument construit au XIIe siècle.
La start-up Wecyclers permet aux habitants des quartiers pauvres de la capitale nigériane d'améliorer leurs conditions de vie en récoltant leurs déchets recyclables.
La sécheresse et les restrictions imposées dans certaines communes nous rappellent que l’eau est un bien précieux.
L' " After festival RECUP" collecte, trie, nettoie et achemine le matériel récupéré lors des festivals d'été vers différents circuits de solidarité, en Belgique et en France. Renaud et ses bénévoles étaient présents à "Dream Ville", le campement des festivaliers de Tomorrowland.
Alors que l'humanité produit de plus en plus de déchets néfastes pour la santé et l'environnement, des initiatives pour promouvoir l'économie circulaire et réduire la quantité de déchets émergent en Europe. Les commerces cherchent eux aussi des solutions. Visite guidée chez The barn et Bio-Planet.
Au début, nous avons reçu des appels. Les gens se demandaient pourquoi on laissait ces grandes herbes dans le cimetière. Ils ne comprenaient pas le but.» Au centre de Beauvechain, le visage du petit cimetière qui ceinture l’église se transforme désormais au rythme des saisons. Les bidons de pesticide et d'herbicide ont été rangés au placard pour faire place à des méthodes de gestion plus douces, où les « mauvaises herbes » ont aussi leur place. Du gazon et des fleurs ont désormais colonisé les grises allées de graviers, empiétant parfois sur les tombes... dont l'entretien doit normalement être assuré par les proches des défunts.